Ma secrétaire devient ma Maîtresse

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il y a 8 ans

Il s'agissait d'une annonce dans un journal gratuit où j'avais proposé de me soumettre à des hommes, femmes ou des couples particulièrement vicieux et imaginatifs : « pour fantasmer tous azimuts ». Ma garce de secrétaire ouvrit toutes les lettres, tira des photocopies et pas génée le moins du monde, vint dans mon bureau me remettre ce courrier d'un genre très spécial. Elle avait fermé la porte. Inutile de vous expliquer ce qui ce passa dans ma tête en m'apercevant qu'elle avait tout lû. J'étais pétrifié, me doutant que cette salope comptait en tirer des avantages puisque, assise en face de moi, elle remontait maintenant sa robe pour me montrer son slip d'où s'échappait des touffes de poils. Je cherchais ce que j'allais pouvoir dire, quand d'une voix sèche, elle me lança : « A genoux esclave et Lèche moi ! »

Je crois avoir essayé de dire : « vous êtes folle » ou quelque chose comme ça, ce qui me valut une menace d'envoyer à mon épouse quelques documents intéressants. De la même voix dure, elle me demanda d'obéir immédiatement. Je n'avais pas le choix, et je pensais qu'en lui donnant du plaisir, je reprendrais une certaine emprise sur elle. Il n'en fût rien, bien au contraire. Elle m'obligea à lire mes lettres à haute voix, à me masturber sur la plus excitante de toute et à lécher le papier couvert de ma semence, puis elle confisqua mon courrier et s'en alla. Elle revint une demi-heure plus tard. J'étais prostré. « Téléphone à ta putain légitime, esclave, pour lui dire que tu ne rentreras pas de la nuit.

  • Mais enfin, c'est impossible !

Elle éclata de rire. « Je ne te demande pas ton avis, chien. Cette nuit tu viens chez moi où alors je dis tout à ta putain moi-même »

J'inventais une histoire folle de représentant accidenté à 200 kilomètre de là et après le départ du personnel je descendis avec Irène qui me conduisit chez elle. Elle me fit déshabiller et m'ordonna de faire la vaisselle, de passer l'aspirateur. J'étais ridicule. Je dus aussi lui servir à boire et me mis à bander. Pour cette érection non autorisée, Irène me fouetta avec une v i o l ence inouïe à l'aide de ma ceinture. Je gardais des marques pendant trois semaines. Je ne lui fis pas l'amour mais elle se fit longuement lécher avant d'aller se coucher et m'enchaîna au pied du lit, m'obligeant à dormir par terre sur une simple couverture. Le lendemain matin, elle me libéra en me disant qu'elle n'irait pas au bureau puisque je lui avais donné sa journée. Au point où j'en étais, que pouvais-je dire ? Elle ne vint pas non plus le surlendemain mais me téléphona en me disant de prévenir ma putain qu'il rne fallait de nouveau découcher. J'eus beau proroger et essayer de discuter, rien n'y fit, elle fut au contraire très menaçante...

J'utilisais cette fois encore, mon soi-disant accidenté, prétextant que son état inspirait des inquiétudes et ma femme alla même jusqu'à me plaindre d'être obligé de ... Bref, j’avais un peu honte. A 19h30, j'étais chez Irène. Deux types étaient assis au salon. Elle me présenta comme son esclave et m'ordonna de me déshabiller. Je dus rester nu et à genoux au milieu du salon pendant que les autres papotaient. Irène se mit à caresser la braguette du plus âgé. "Tu bandes Jean Charles, ça te ferait plaisir de m'enculer ?" L'autre se déboutonna exhibant un sexe plutôt imposant et décréta qu'il avait envie d'une pipe. Il vint alors vers moi et s'enfonça dans ma bouche. Au cours de la soirée et de la nuit, je dus satisfaire toutes leurs exigences. Irène m'engoda, Claude me sodomisa deux fois et Jean-Charles, adepte des pipes, se vida à trois reprises dans ma gorge. Je fus un peu fouetté, ma maîtresse acceptant de m'épargner compte tenu des marques de l'avant-veille qui zébraient entièrement mon corps. Par contre, cette garce fit de nombreuses photos. Je savais qu'avec ça elle allait me tenir définitivement et pourtant, je commençais à prendre goût à ma nouvelle condition. Quinze jours plus tard, il me fallut avouer à ma femme que j'avais une liaison. J'étais chez Irêne et c'est elle qui m'a tendu le téléphone après avoir composé le numéro de mon domicile. Mon épouse à été d'une patience exemplaire. Nous avons divorcé l'année dernière, et j'ai épousé lrène sous le régime de la communauté universelle. Elle gère tous mes biens et mes revenus qui sont versés sur son compte dont je n'ai pas la signature et je suis sous son entière dépendance financière. Elle est enceinte mais pas de moi et pour cause, je n'ai jamais fait l'amour avec elle. Le jour de notre mariage,elle m'a fai tatouer ses initiales sur mon pubis et m'a installé un dispositif de chasteté en inox médical dont la fermeture à été soudée de façon permanente. Voilà donc un an que je n'ai plus eu aucun plaisir et plus aucun contact avec mon sexe, si ce n'est celui de cette cage qui le comprime fortement lors de mes érections.

Je n'ai ce que je mérite et ce que j'ai voulu et je ne suis pas malheureux. Ce qui me gène, c'est que mon ex-femme ne s'est pas très bien remise de notre divorce. Je ne fais plus rien avec les femmes si ce n'est ce que font les esclaves : Léchouilles et touche-cul. A la maison, je ne dois porter que des dessous féminins avec soutien-gorge et porte-jarretelle et Irène à décidé que ma seule sexualité serait celle d'une femme, c'est à dire que j'ai le droit aux hommes à condition de rester passif et soumis et de recevoir mes amants ou les types que mon épouse à choisi dans une chambre dont Irène à enlevé la porte. Hier encore, j'ai pleuré de plaisir en me faisant défoncer par l'amant actuel d'Irène : Un noir immense avec une queue comme un baobab qui a passé près de 3 heures à s'occuper de mon cul.

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